Adossés, ils tiennent debout. Parfois l'équilibre naît d'un simple appui mutuel...
Adossés, ils tiennent debout. Parfois l'équilibre naît d'un simple appui mutuel...
Rencontre sur les bords de Rance...
Rencontre sur les bords de Rance...
Le tumulte de Londres s'écrit en traits rouges sur l'asphalte...
Le tumulte de Londres s'écrit en traits rouges sur l'asphalte...
Vanille-Fraise...
Vanille-Fraise...
L'oeil est le miroir de l'âme et il ne triche pas...
L'oeil est le miroir de l'âme et il ne triche pas...
Regarde le monde comme tu aimerais que le monde te regarde...
Regarde le monde comme tu aimerais que le monde te regarde...
Il transpire les larmes du monde et pourtant, il avance, noble et silencieux...
Il transpire les larmes du monde et pourtant, il avance, noble et silencieux...
Chaque épice raconte une histoire et colore nos sens...
Chaque épice raconte une histoire et colore nos sens...
Open Summer Festival, Toulouse, 2017Artiste américain : Wayne CodePremière rencontre avec le street art, première demande de portrait, première double exposition.Inspirée par le geste de l’artiste, j’ai choisi de mettre en valeur le processus de création plutôt que l’œuvre finale.Le graffeur devient ici le sujet de sa propre œuvre, dans une composition où nos deux démarches artistiques se croisent.Photo publiée avec son accord, par respect pour l’intégrité de son travail.
Open Summer Festival, Toulouse, 2017Artiste américain : Wayne CodePremière rencontre avec le street art, première demande de portrait, première double exposition.Inspirée par le geste de l’artiste, j’ai choisi de mettre en valeur le processus de création plutôt que l’œuvre finale.Le graffeur devient ici le sujet de sa propre œuvre, dans une composition où nos deux démarches artistiques se croisent.Photo publiée avec son accord, par respect pour l’intégrité de son travail.
Les cordes hurlent, la tête vibre et le coeur cogne...
Les cordes hurlent, la tête vibre et le coeur cogne...
La rouille me fascinera toujours autant...Je pourrais la regarder des heures durant que je n’arriverais pas à en définir sa couleur.A la fois ocre, à la fois terre, la lumière qu’elle renvois n’en est que plus belle.J’aime ce qu’elle raconte.A l’image de la vie, la rouille n’ a besoin que d’eau et d’oxygène pour exister.Et pourtant elle fragilise les matériaux les plus durs que sont le fer et l’acier.Un soir, juste avant le coucher du soleil, à l’heure dorée, observez la rouille des bateaux sur le port.Ecoutez ce qu’elle a à vous dire… La vie est plus forte que tout…"
La rouille me fascinera toujours autant...Je pourrais la regarder des heures durant que je n’arriverais pas à en définir sa couleur.A la fois ocre, à la fois terre, la lumière qu’elle renvois n’en est que plus belle.J’aime ce qu’elle raconte.A l’image de la vie, la rouille n’ a besoin que d’eau et d’oxygène pour exister.Et pourtant elle fragilise les matériaux les plus durs que sont le fer et l’acier.Un soir, juste avant le coucher du soleil, à l’heure dorée, observez la rouille des bateaux sur le port.Ecoutez ce qu’elle a à vous dire… La vie est plus forte que tout…"
Il y a des cris nécéssaires, qui explosent pour libérer ce qu'on ne peut plus taire...
Il y a des cris nécéssaires, qui explosent pour libérer ce qu'on ne peut plus taire...
Ne pas plier sous le poids des épreuves.Rester droit et léger.Toujours…Pour ne pas s’enfoncer.Se nourrir de ce que la vie à de plus beau et s’empresser d’en oublier le reste.Voilà le secret.
Ne pas plier sous le poids des épreuves.Rester droit et léger.Toujours…Pour ne pas s’enfoncer.Se nourrir de ce que la vie à de plus beau et s’empresser d’en oublier le reste.Voilà le secret.
Par politesse, je vous laisse le dernier...
Par politesse, je vous laisse le dernier...
L'infiniment petit me nourrit. J'aime regarder au delà des apparences et creuser jusqu'à la source...
L'infiniment petit me nourrit. J'aime regarder au delà des apparences et creuser jusqu'à la source...
La légereté d'un éventail et la douceur d'un truc en plumes...
La légereté d'un éventail et la douceur d'un truc en plumes...
Il est des regards qui en disent long et qui se passent de commentaire...
Il est des regards qui en disent long et qui se passent de commentaire...
Le courage c'est de se lever chaque matin.Chaque matin pour recommencer une journée.Une journée à faire semblant.Semblant d'aller bien...
Le courage c'est de choisir la vie...La vie qui t'a pourtant abimée.Abimée de tout les côtés.Le courage c'est de penser qu'un jour le vent va tourner...Tourner du bon côté.Alors je me lève chaque matin...
Le courage c'est de se lever chaque matin.Chaque matin pour recommencer une journée.Une journée à faire semblant.Semblant d'aller bien...
Le courage c'est de choisir la vie...La vie qui t'a pourtant abimée.Abimée de tout les côtés.Le courage c'est de penser qu'un jour le vent va tourner...Tourner du bon côté.Alors je me lève chaque matin...
Si je devais être une fleur, je serais un lotus...Comme lui, je suis toute en rondeur.Comme lui, je suis vivace.Comme lui j’ai besoin de chaleur.A l’image de ses pétales hydrofuges, les aléas de la vie glissent sur moi.A l’image de sa graine qui détient le record de longévité grâce à son péricarpe, je me suis forgé une carapace.A l'image de ce qu'il inspire, je suis calme, zen et méditante.Quand une rencontre avec le lotus se transforme en une rencontre avec moi-même...
Si je devais être une fleur, je serais un lotus...Comme lui, je suis toute en rondeur.Comme lui, je suis vivace.Comme lui j’ai besoin de chaleur.A l’image de ses pétales hydrofuges, les aléas de la vie glissent sur moi.A l’image de sa graine qui détient le record de longévité grâce à son péricarpe, je me suis forgé une carapace.A l'image de ce qu'il inspire, je suis calme, zen et méditante.Quand une rencontre avec le lotus se transforme en une rencontre avec moi-même...
Si je devais être une fleur, je serais un lotus...Comme lui, je suis toute en rondeur.Comme lui, je suis vivace.Comme lui j’ai besoin de chaleur.A l’image de ses pétales hydrofuges, les aléas de la vie glissent sur moi.A l’image de sa graine qui détient le record de longévité grâce à son péricarpe, je me suis forgé une carapace.A l'image de ce qu'il inspire, je suis calme, zen et méditante.Quand une rencontre avec le lotus se transforme en une rencontre avec moi-même...
Si je devais être une fleur, je serais un lotus...Comme lui, je suis toute en rondeur.Comme lui, je suis vivace.Comme lui j’ai besoin de chaleur.A l’image de ses pétales hydrofuges, les aléas de la vie glissent sur moi.A l’image de sa graine qui détient le record de longévité grâce à son péricarpe, je me suis forgé une carapace.A l'image de ce qu'il inspire, je suis calme, zen et méditante.Quand une rencontre avec le lotus se transforme en une rencontre avec moi-même...
Lorsque le regard parle c'est la nature qui s'exprime...
Lorsque le regard parle c'est la nature qui s'exprime...
Ce monde n'est que Vie'olence...
Ce monde n'est que Vie'olence...
L'infiniment petit me nourrit...J'aime regarder au delà des apparences et creuser jusqu'à la source.Qu'il s'agisse de nature humaine ou de nature tout court.S'efforcer de regarder plus loin et aller chercher l'émotion au plus profond des choses, au plus profond des autres, au plus profond de soi. Certes la tâche n'est pas aisée, il faut de la patience, de la persévérance mais quelle satisfaction lorsqu'on y parvient.Cette sensation de se rapprocher à chaque fois un peu plus de la vérité...
L'infiniment petit me nourrit...J'aime regarder au delà des apparences et creuser jusqu'à la source.Qu'il s'agisse de nature humaine ou de nature tout court.S'efforcer de regarder plus loin et aller chercher l'émotion au plus profond des choses, au plus profond des autres, au plus profond de soi. Certes la tâche n'est pas aisée, il faut de la patience, de la persévérance mais quelle satisfaction lorsqu'on y parvient.Cette sensation de se rapprocher à chaque fois un peu plus de la vérité...
La beauté ne crie jamais. Elle chuchotte, doucement à ceux qui savent la regarder...
La beauté ne crie jamais. Elle chuchotte, doucement à ceux qui savent la regarder...
Suspendue entre deux mondes, cette mue raconte une histoire de métamorphose et de renouveau. Dans l’écrin d’un vert infini, l’insecte se dépouille de son passé pour embrasser un futur fragile. À travers ce détail presque invisible, c’est l’écho de l’univers tout entier qui résonne, nous rappelant que l’infini commence toujours par le plus petit.
Suspendue entre deux mondes, cette mue raconte une histoire de métamorphose et de renouveau. Dans l’écrin d’un vert infini, l’insecte se dépouille de son passé pour embrasser un futur fragile. À travers ce détail presque invisible, c’est l’écho de l’univers tout entier qui résonne, nous rappelant que l’infini commence toujours par le plus petit.
Suspendue au fil du temps, cette goutte d’eau fragile capture un monde à elle seule. Éclat de lumière et miroir de l’infini, elle révèle l’immensité cachée dans l’éphémère. Entre simplicité et vertige, elle invite à plonger au cœur d’un univers miniature, où chaque détail raconte une histoire sans fin.
Suspendue au fil du temps, cette goutte d’eau fragile capture un monde à elle seule. Éclat de lumière et miroir de l’infini, elle révèle l’immensité cachée dans l’éphémère. Entre simplicité et vertige, elle invite à plonger au cœur d’un univers miniature, où chaque détail raconte une histoire sans fin.
Il est des lieux qui aspirent au ressourcement. Des coins de paradis pour l'âme...
Il est des lieux qui aspirent au ressourcement. Des coins de paradis pour l'âme...
Sous l'apparente simplicité, l'invisible architecture du vivant nous murmure l'art du détail...
Sous l'apparente simplicité, l'invisible architecture du vivant nous murmure l'art du détail...
Ne laisse personne éteindre ta lumière. Laisse là guider tes pas et éclairer ton chemin...
Ne laisse personne éteindre ta lumière. Laisse là guider tes pas et éclairer ton chemin...
Mais l'ancolie heureuse. Je pourrais mourir là, d'un coeur trop gros de bonheur qu'il finirait par éclater...
Mais l'ancolie heureuse. Je pourrais mourir là, d'un coeur trop gros de bonheur qu'il finirait par éclater...
L'amour c'est regarder dans la même direction, main dans la main, épaule contre épaule. C'est croire en l'autre plus que lui-même...
L'amour c'est regarder dans la même direction, main dans la main, épaule contre épaule. C'est croire en l'autre plus que lui-même...
A la lisière de l’invisible, un monde se dessine à l'échelle du minuscule. L’insecte, voyageur discret, chemine sur une feuille aux allures de paysage infini. Une invitation à plonger dans les profondeurs d’un microcosme que l’œil oublie souvent de voir. Un vertige délicat, où l’infiniment petit devient le miroir de l’immensité.
A la lisière de l’invisible, un monde se dessine à l'échelle du minuscule. L’insecte, voyageur discret, chemine sur une feuille aux allures de paysage infini. Une invitation à plonger dans les profondeurs d’un microcosme que l’œil oublie souvent de voir. Un vertige délicat, où l’infiniment petit devient le miroir de l’immensité.
L'oiseau en habit d'apparat nous rappelle que la beauté extérieure n'est qu'un masque, parfois porté pour survivre...
L'oiseau en habit d'apparat nous rappelle que la beauté extérieure n'est qu'un masque, parfois porté pour survivre...
La nature s’est tue.Et la soliste est entrée en scène.Fragile. Libre. Magnifique.Le vent, tel un chorégraphe invisible,a effleuré ses pétales à la lumière du contre-jour.Alors, j’ai eu le privilège de la voir danser...
La nature s’est tue.Et la soliste est entrée en scène.Fragile. Libre. Magnifique.Le vent, tel un chorégraphe invisible,a effleuré ses pétales à la lumière du contre-jour.Alors, j’ai eu le privilège de la voir danser...
Le lotus a toujours exercé sur moi une fascination particulière. Plus qu’une simple fleur, il est devenu avec le temps un guide, une source d’inspiration profonde, presque un compagnon de route. J’ai fini par le considérer comme mon végétal totem, au point de l’inscrire sur ma peau pour qu’il m’accompagne à chaque instant.Ce tatouage n’est pas un simple ornement. C’est un rappel permanent, un mantra qui me ramène à l’essentiel : il est toujours possible de s’élever, de chercher la lumière et de s’y ouvrir pleinement.C’est cela qui me touche profondément chez le lotus. Il ne reste pas prisonnier de l’ombre, de la boue dans laquelle il pousse. Il ne renie pas la nuit, mais il en fait une marche vers le jour.Chaque jour, il choisit la clarté, comme une évidence. Sa beauté ne vient pas seulement de sa forme, mais de ce lien intime avec la lumière qui l’accueille et le sublime.La lumière, pour moi, n’est pas qu’un symbole : c’est un état d’esprit, une façon de regarder la vie. Elle éclaire nos blessures, elle révèle notre dignité, elle nous rappelle que nous ne sommes pas définis par l’obscurité mais par l’élan intérieur qui nous pousse à la dépasser.Alors, chaque fois que je doute, que je vacille ou que je me sens submergée, je pense au lotus, immaculé malgré la boue. Il me ramène à cette conviction : nous avons le choix. Celui de nous laisser engloutir par nos difficultés ou celui de nous redresser, d’avancer et de grandir malgré tout. C’est en lui que je trouve ma force. Il m’inspire à chercher ma propre clarté, à rayonner malgré les épreuves.Et c’est ainsi que je choisis de vivre : en m’élevant, droite, digne, et tournée vers la lumière.
Le lotus a toujours exercé sur moi une fascination particulière. Plus qu’une simple fleur, il est devenu avec le temps un guide, une source d’inspiration profonde, presque un compagnon de route. J’ai fini par le considérer comme mon végétal totem, au point de l’inscrire sur ma peau pour qu’il m’accompagne à chaque instant.Ce tatouage n’est pas un simple ornement. C’est un rappel permanent, un mantra qui me ramène à l’essentiel : il est toujours possible de s’élever, de chercher la lumière et de s’y ouvrir pleinement.C’est cela qui me touche profondément chez le lotus. Il ne reste pas prisonnier de l’ombre, de la boue dans laquelle il pousse. Il ne renie pas la nuit, mais il en fait une marche vers le jour.Chaque jour, il choisit la clarté, comme une évidence. Sa beauté ne vient pas seulement de sa forme, mais de ce lien intime avec la lumière qui l’accueille et le sublime.La lumière, pour moi, n’est pas qu’un symbole : c’est un état d’esprit, une façon de regarder la vie. Elle éclaire nos blessures, elle révèle notre dignité, elle nous rappelle que nous ne sommes pas définis par l’obscurité mais par l’élan intérieur qui nous pousse à la dépasser.Alors, chaque fois que je doute, que je vacille ou que je me sens submergée, je pense au lotus, immaculé malgré la boue. Il me ramène à cette conviction : nous avons le choix. Celui de nous laisser engloutir par nos difficultés ou celui de nous redresser, d’avancer et de grandir malgré tout. C’est en lui que je trouve ma force. Il m’inspire à chercher ma propre clarté, à rayonner malgré les épreuves.Et c’est ainsi que je choisis de vivre : en m’élevant, droite, digne, et tournée vers la lumière.
Le lotus a toujours exercé sur moi une fascination particulière. Plus qu’une simple fleur, il est devenu avec le temps un guide, une source d’inspiration profonde, presque un compagnon de route. J’ai fini par le considérer comme mon végétal totem, au point de l’inscrire sur ma peau pour qu’il m’accompagne à chaque instant.Ce tatouage n’est pas un simple ornement. C’est un rappel permanent, un mantra qui me ramène à l’essentiel : il est toujours possible de s’élever, de chercher la lumière et de s’y ouvrir pleinement.C’est cela qui me touche profondément chez le lotus. Il ne reste pas prisonnier de l’ombre, de la boue dans laquelle il pousse. Il ne renie pas la nuit, mais il en fait une marche vers le jour.Chaque jour, il choisit la clarté, comme une évidence. Sa beauté ne vient pas seulement de sa forme, mais de ce lien intime avec la lumière qui l’accueille et le sublime.La lumière, pour moi, n’est pas qu’un symbole : c’est un état d’esprit, une façon de regarder la vie. Elle éclaire nos blessures, elle révèle notre dignité, elle nous rappelle que nous ne sommes pas définis par l’obscurité mais par l’élan intérieur qui nous pousse à la dépasser.Alors, chaque fois que je doute, que je vacille ou que je me sens submergée, je pense au lotus, immaculé malgré la boue. Il me ramène à cette conviction : nous avons le choix. Celui de nous laisser engloutir par nos difficultés ou celui de nous redresser, d’avancer et de grandir malgré tout. C’est en lui que je trouve ma force. Il m’inspire à chercher ma propre clarté, à rayonner malgré les épreuves.Et c’est ainsi que je choisis de vivre : en m’élevant, droite, digne, et tournée vers la lumière.
Le lotus a toujours exercé sur moi une fascination particulière. Plus qu’une simple fleur, il est devenu avec le temps un guide, une source d’inspiration profonde, presque un compagnon de route. J’ai fini par le considérer comme mon végétal totem, au point de l’inscrire sur ma peau pour qu’il m’accompagne à chaque instant.Ce tatouage n’est pas un simple ornement. C’est un rappel permanent, un mantra qui me ramène à l’essentiel : il est toujours possible de s’élever, de chercher la lumière et de s’y ouvrir pleinement.C’est cela qui me touche profondément chez le lotus. Il ne reste pas prisonnier de l’ombre, de la boue dans laquelle il pousse. Il ne renie pas la nuit, mais il en fait une marche vers le jour.Chaque jour, il choisit la clarté, comme une évidence. Sa beauté ne vient pas seulement de sa forme, mais de ce lien intime avec la lumière qui l’accueille et le sublime.La lumière, pour moi, n’est pas qu’un symbole : c’est un état d’esprit, une façon de regarder la vie. Elle éclaire nos blessures, elle révèle notre dignité, elle nous rappelle que nous ne sommes pas définis par l’obscurité mais par l’élan intérieur qui nous pousse à la dépasser.Alors, chaque fois que je doute, que je vacille ou que je me sens submergée, je pense au lotus, immaculé malgré la boue. Il me ramène à cette conviction : nous avons le choix. Celui de nous laisser engloutir par nos difficultés ou celui de nous redresser, d’avancer et de grandir malgré tout. C’est en lui que je trouve ma force. Il m’inspire à chercher ma propre clarté, à rayonner malgré les épreuves.Et c’est ainsi que je choisis de vivre : en m’élevant, droite, digne, et tournée vers la lumière.
Le lotus a toujours exercé sur moi une fascination particulière. Plus qu’une simple fleur, il est devenu avec le temps un guide, une source d’inspiration profonde, presque un compagnon de route. J’ai fini par le considérer comme mon végétal totem, au point de l’inscrire sur ma peau pour qu’il m’accompagne à chaque instant.Ce tatouage n’est pas un simple ornement. C’est un rappel permanent, un mantra qui me ramène à l’essentiel : il est toujours possible de s’élever, de chercher la lumière et de s’y ouvrir pleinement.C’est cela qui me touche profondément chez le lotus. Il ne reste pas prisonnier de l’ombre, de la boue dans laquelle il pousse. Il ne renie pas la nuit, mais il en fait une marche vers le jour.Chaque jour, il choisit la clarté, comme une évidence. Sa beauté ne vient pas seulement de sa forme, mais de ce lien intime avec la lumière qui l’accueille et le sublime.La lumière, pour moi, n’est pas qu’un symbole : c’est un état d’esprit, une façon de regarder la vie. Elle éclaire nos blessures, elle révèle notre dignité, elle nous rappelle que nous ne sommes pas définis par l’obscurité mais par l’élan intérieur qui nous pousse à la dépasser.Alors, chaque fois que je doute, que je vacille ou que je me sens submergée, je pense au lotus, immaculé malgré la boue. Il me ramène à cette conviction : nous avons le choix. Celui de nous laisser engloutir par nos difficultés ou celui de nous redresser, d’avancer et de grandir malgré tout. C’est en lui que je trouve ma force. Il m’inspire à chercher ma propre clarté, à rayonner malgré les épreuves.Et c’est ainsi que je choisis de vivre : en m’élevant, droite, digne, et tournée vers la lumière.
Le lotus a toujours exercé sur moi une fascination particulière. Plus qu’une simple fleur, il est devenu avec le temps un guide, une source d’inspiration profonde, presque un compagnon de route. J’ai fini par le considérer comme mon végétal totem, au point de l’inscrire sur ma peau pour qu’il m’accompagne à chaque instant.Ce tatouage n’est pas un simple ornement. C’est un rappel permanent, un mantra qui me ramène à l’essentiel : il est toujours possible de s’élever, de chercher la lumière et de s’y ouvrir pleinement.C’est cela qui me touche profondément chez le lotus. Il ne reste pas prisonnier de l’ombre, de la boue dans laquelle il pousse. Il ne renie pas la nuit, mais il en fait une marche vers le jour.Chaque jour, il choisit la clarté, comme une évidence. Sa beauté ne vient pas seulement de sa forme, mais de ce lien intime avec la lumière qui l’accueille et le sublime.La lumière, pour moi, n’est pas qu’un symbole : c’est un état d’esprit, une façon de regarder la vie. Elle éclaire nos blessures, elle révèle notre dignité, elle nous rappelle que nous ne sommes pas définis par l’obscurité mais par l’élan intérieur qui nous pousse à la dépasser.Alors, chaque fois que je doute, que je vacille ou que je me sens submergée, je pense au lotus, immaculé malgré la boue. Il me ramène à cette conviction : nous avons le choix. Celui de nous laisser engloutir par nos difficultés ou celui de nous redresser, d’avancer et de grandir malgré tout. C’est en lui que je trouve ma force. Il m’inspire à chercher ma propre clarté, à rayonner malgré les épreuves.Et c’est ainsi que je choisis de vivre : en m’élevant, droite, digne, et tournée vers la lumière.
Le lotus a toujours exercé sur moi une fascination particulière. Plus qu’une simple fleur, il est devenu avec le temps un guide, une source d’inspiration profonde, presque un compagnon de route. J’ai fini par le considérer comme mon végétal totem, au point de l’inscrire sur ma peau pour qu’il m’accompagne à chaque instant.Ce tatouage n’est pas un simple ornement. C’est un rappel permanent, un mantra qui me ramène à l’essentiel : il est toujours possible de s’élever, de chercher la lumière et de s’y ouvrir pleinement.C’est cela qui me touche profondément chez le lotus. Il ne reste pas prisonnier de l’ombre, de la boue dans laquelle il pousse. Il ne renie pas la nuit, mais il en fait une marche vers le jour.Chaque jour, il choisit la clarté, comme une évidence. Sa beauté ne vient pas seulement de sa forme, mais de ce lien intime avec la lumière qui l’accueille et le sublime.La lumière, pour moi, n’est pas qu’un symbole : c’est un état d’esprit, une façon de regarder la vie. Elle éclaire nos blessures, elle révèle notre dignité, elle nous rappelle que nous ne sommes pas définis par l’obscurité mais par l’élan intérieur qui nous pousse à la dépasser.Alors, chaque fois que je doute, que je vacille ou que je me sens submergée, je pense au lotus, immaculé malgré la boue. Il me ramène à cette conviction : nous avons le choix. Celui de nous laisser engloutir par nos difficultés ou celui de nous redresser, d’avancer et de grandir malgré tout. C’est en lui que je trouve ma force. Il m’inspire à chercher ma propre clarté, à rayonner malgré les épreuves.Et c’est ainsi que je choisis de vivre : en m’élevant, droite, digne, et tournée vers la lumière.
Le lotus a toujours exercé sur moi une fascination particulière. Plus qu’une simple fleur, il est devenu avec le temps un guide, une source d’inspiration profonde, presque un compagnon de route. J’ai fini par le considérer comme mon végétal totem, au point de l’inscrire sur ma peau pour qu’il m’accompagne à chaque instant.Ce tatouage n’est pas un simple ornement. C’est un rappel permanent, un mantra qui me ramène à l’essentiel : il est toujours possible de s’élever, de chercher la lumière et de s’y ouvrir pleinement.C’est cela qui me touche profondément chez le lotus. Il ne reste pas prisonnier de l’ombre, de la boue dans laquelle il pousse. Il ne renie pas la nuit, mais il en fait une marche vers le jour.Chaque jour, il choisit la clarté, comme une évidence. Sa beauté ne vient pas seulement de sa forme, mais de ce lien intime avec la lumière qui l’accueille et le sublime.La lumière, pour moi, n’est pas qu’un symbole : c’est un état d’esprit, une façon de regarder la vie. Elle éclaire nos blessures, elle révèle notre dignité, elle nous rappelle que nous ne sommes pas définis par l’obscurité mais par l’élan intérieur qui nous pousse à la dépasser.Alors, chaque fois que je doute, que je vacille ou que je me sens submergée, je pense au lotus, immaculé malgré la boue. Il me ramène à cette conviction : nous avons le choix. Celui de nous laisser engloutir par nos difficultés ou celui de nous redresser, d’avancer et de grandir malgré tout. C’est en lui que je trouve ma force. Il m’inspire à chercher ma propre clarté, à rayonner malgré les épreuves.Et c’est ainsi que je choisis de vivre : en m’élevant, droite, digne, et tournée vers la lumière.
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